Traumatisme crânien : quel recours ?

Une lésion cérébrale peut arriver à la suite d’un accident de la route, d’une chute ou encore d’un choc violent. Lorsqu’une victime subi un traumatisme crânien, elle peut parfois présenter de lourdes séquelles. Alors comment faire reconnaître un traumatisme crânien et obtenir une réparation juste du préjudice subit ?

Trauma crânien : degrés du traumatisme et indemnisations

Un choc violent à la tête peut engendrer un traumatisme crânien : accident de la route, accident de la vie ou encore accident de circulation. Les causes sont multiples, tout comme les conséquences (troubles cognitifs, problème de communication, d’ouïe ou encore d’audition, troubles psychologiques…).

On distingue aujourd’hui trois types de trauma crânien :

  • Le traumatisme crânien léger (TCL) : Lié à une perte de connaissance d’une durée inférieure à une heure, le TCL provoque une amnésie post-traumatique qui n’excède généralement pas plus de 24 heures. Il concerne 80% des cas comme indiqué sur le site de l’Association France Traumatisme Crânien. Dans la majorité des cas, les séquelles disparaissent au bout de quelque mois (il ne faut toutefois pas les sous-estimer lors du calcul de votre indemnisation).
  • Le traumatisme crânien modéré : Ce degré est en fonction de la durée de la perte de connaissance, de la profondeur du coma et de la durée de l’amnésie post-traumatique.
  • Le traumatisme crânien sévère : Trauma crânien le plus grave, il correspond à une durée de coma de plusieurs heures à plusieurs jours et amène à des séquelles très importantes.


Quel que soit le degré de gravité d’un choc crânien, il est important de se faire accompagner par des spécialistes du traumatisme crânien dans votre processus d’indemnisation. Certaines séquelles n’étant pas « visibles » et immédiates, il faut les évaluer tout en n’oubliant pas les autres conséquences possibles de l’accident.

L’indemnisation du traumatisme crânien est certainement l’indemnisation la plus complexe à obtenir : faites-vous accompagner par des professionnels compétents, qui font du choc crânien leur spécialité.

Victime de Traumatisme Crânien important, sous évaluée par son assureur

Comment Recours Assistance vous accompagne dans la réparation du traumatisme crânien ?

L’indemnisation d’un choc crânien est complexe car aucun cas n’est le même. En effet, deux facteurs influent sur votre indemnisation :

  • Le temps : certains impacts peuvent se déclarer tardivement. Tout l’enjeu sera donc de démontrer les liens entre l’accident et la séquelle tardive.
  • La mesure de l’impact : encore trop souvent la victime ou leurs proches peuvent « minimiser » le degré d’incapacité et être dans le déni. Il faut donc être accompagné de spécialistes et de médecins-experts qui seront aptes à identifier et à défendre les taux de séquelles de la victime pour une juste indemnisation des préjudices subis.


Recours Assistance va avant tout écouter la victime et ses proches, les accompagner et identifier les multiples impacts de cette lésion cérébrale et défendre leurs intérêts.

En matière de Dommage Corporel, Recours Assistance obtient une réévaluation de 60% en moyenne de l’indemnisation du préjudice.

Marylène, diplômée d’un DIU en Evaluation du Traumatisme Crânien, va apporter son expertise dans l’évaluation de votre choc crânien et ses conséquences. Elle rencontre toujours la victime accompagnée d’une personne de son entourage, afin de connaître votre cadre de vie et d’identifier les changements avant/après l’accident (dommages visibles et invisibles). Marylène communique ensuite avec la victime et ses proches, de façon adaptée, tout au long du processus d’indemnisation.

C’est grâce à cette connaissance pointue du trauma crânien que Recours Assistance vous accompagne et défend vos droits. En effet, tous vos dommages, qu’ils soient visibles ou invisibles, doivent être pris en compte dans l’indemnisation de votre préjudice. C’est aussi le cas des besoins et impacts pour l’entourage qui vous accompagne au quotidien. Le tout, sans aucune avance de frais.